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La primaire des écologistes et les déchets : un sujet enfoui sous les autres.

Les 5 candidats à la primaire écologiste vont bientôt connaître le résultat du premier tour. Le vote aura lieu sur internet du 16 au 19 septembre pour les inscrits. L’occasion de passer en revue les propos et mesures des candidats écologistes à la présidentielle de 2022 concernant les déchets.
Par MESLARD-HAYOT Hugo le 15/09/2021
1ère Mise à jour (MAJ) le 24/09/2021
2ème MAJ le 26/09/2021
Les 5 candidats à la primaire écologiste vont bientôt connaître le résultat du premier tour. Le vote aura lieu sur internet du 16 au 19 septembre pour les inscrits. L’occasion de passer en revue les propos et mesures des candidats écologistes à la présidentielle de 2022 concernant les déchets.

L'écologie mise en avant, les déchets pas vraiment.

S’il y a bien un sujet environnemental (mais pas que), c’est lui des déchets. Extraction de ressources, pollutions, émissions de gaz à effet de serre, atteintes à la biodiversité, les atteintes à l’environnement sont légion en la matière. Ce sujet devrait théoriquement être présent chez les candidats. L’analyse comparée entre les cinq candidats repose sur leurs programmes 1, sur les près de 7h débats 2 et sur les portraits publiés par Reporterre « le quotidien de l’écologie ». Vous pouvez retrouver ces portraits ici.

Ces différentes sources d’analyse portent bien évidemment des sujets environnementaux, comme les transports, le nucléaire, l’alimentation, l’agriculture, la pollution de l’air, mais comparativement les déchets ont eu une maigre place générale dans les écrits et les dires des candidats. Ceci peut s’expliquer par les questions posées par les intervieweurs, aucune ne concernait précisément les déchets. Les propos et mesures sont présentées dans l'ordre alphabétique des noms des candidates et candidats.

Delphine BATHO

La candidate, ex-ministre de l’écologie durant un peu plus d’un an au début du quinquennat Hollande, n’a pas évoqué la thématique des déchets, à aucun moment. En revanche, elle a axée sa campagne sur le concept de décroissance notamment., qui vise entre autres à découpler la croissance économique de la production/consommation d'énergie, de matières 3 . Pour les déchets, en France, actuellement aucun découplage absolu, pérenne, immédiat entre la croissance économique et la production de déchets n'a eu lieu.

Dans le seul livre des candidats lu par les décheticiens, L’insoumise (2014), l'autrice Delphine Batho consacre un chapitre à l’économie circulaire, soit un peu plus de cinq pages sur deux-cent soixante-trois pages. 4 Elle ouvre celui-ci en écrivant « L’économie circulaire est le concept le plus prometteur que j’ai rencontré au cours des dernières années ». Elle rappelle la définition du concept, les politiques d’économie circulaire ailleurs (Pays-Bas, Allemagne, Japon, Chine…). Elle nomme des acteurs du secteur de l’économie circulaire, et elle dit la nécessité que l’État s’engage dans l’économie circulaire « sur des produits et dans des territoires ». Elle évoque une loi-cadre qu’elle avait proposé au sujet de l’économie circulaire, mais « sans raison, sans explication, cette proposition a écartée par les services du Premier ministre ».

Photo de D.BATHO (crédits photo : Mathieu Génon, Reporterre)

Jean-Marc GOVERNATORI

Il est le seul des trois candidats à avoir parlé des déchets dans les trois débats. Dans le premier débat, il a évoqué « l’économie circulaire », et a un autre moment a dit que « le meilleur déchet c’est celui qu’on ne produit pas ». Il a reparlé d’économie circulaire au second débat, cette fois-ci « pour le plein-emploi », sans détailler son propos. Il a aussi exprimé une nouvelle idée par rapport au premier débat, la voici : « les déchets verts et les méthaniseurs sont extraordinaires pour favoriser les carburants de 3e génération ». Il a réitéré à quelques détails près son propos lors du troisième débat. Suite à une question sur la taxe carbone il a déclaré vouloir des déchets verts et non alimentaires pour faire des biocarburants de 3e génération, et a poursuivi en disant « je crois beaucoup aux méthaniseurs par exemple […] et aux microméthaniseurs […] pour créer du biogaz, de l’électricité et des carburants ».

Dans son argumentaire sur la lutte contre le changement climatique, il a proposé qu’« il faut faire de la réparation à gogo, il faut vraiment que l’économie circulaire devienne l’économie reine de notre pays ».

Enfin dans ces derniers mots lors du dernier débat, en évoquant un de ses mots d’ordre, à savoir la coopération, il a évoqué les composteurs collectifs.

Concernant son programme sur Internet, ses propositions semblent celles des élections régionales 2021 en PACA pour lesquelles il avait candidaté. Dans la partie agriculture, le candidat à la primaire écologiste souhaite développer les plateformes de compostage comme alternative à la fertilisation de synthèse.

Dans la partie économie, le candidat fait la proposition suivante : « aider en capital et en prêt les entreprises qui satisfont nos objectifs de recyclage de 100% des produits utilisés dans notre région au terme du mandat ». Il dit vouloir faire savoir que l’économie circulaire associée à la rénovation énergétique, aux énergies renouvelables et aux fermes paysannes engendrera le plein emploi.

Le candidat fait des propositions dans une partie dédiée aux déchets :

Capture d'écran des propositions de M.GOVERNATORI pour les déchets aux élections régionales

Analyse :
Concernant la méthanisation, celle-ci est en forte croissance en France. La première unité a vu le jour en 1988 à Amiens dans la Somme (De Silguy, 2013), et désormais il existe plus de 1000 installations, surtout à la ferme (Ademe, 2021). Selon cette même étude de l’Ademe, la valorisation en bioGNV pour véhicules est la plus faible des valorisations au 1er janvier 2021, loin derrière la valorisation en électricité, en chaleur et en biométhane injecté dans le réseau de gaz. Qui plus est des opposants à ces projets se font régulièrement entendre (Le Monde, 2021 ; actu environnement, 2021), malgré des impacts environnementaux qui sont plutôt bénéfiques (7 indicateurs sur 11) pour les déchets de cuisine et de table (Ademe, 2021). Néanmoins, cette étude montre que sur l'indicateur changement climatique, les impacts environnementaux agrégés (la somme des impacts générés et évités) sont en défaveur de la méthanisation 5. Un rapport parlementaire sur la méthanisation doit être publié en septembre en France.
La proposition du candidat pourrait permettre de baisser, toutes choses étant égales par ailleurs, la part des énergies fossiles dans les transports.

Avec Eric PIOLLE, il est le candidat ayant proposé le plus d'idées en matière de réduction des déchets. 6

Photo de J-M. GOVERNATORI (Crédits photo : Mathieu Génon, Reporterre)

Yannick JADOT

Dans son entretien chez Reporterre, il a dit vouloir différencier « les taux de TVA en fonction de ce qui est vertueux ou non », sans préciser si les produits et services auxquels cela pourrait s’appliquer.

Lors du premier débat, il a évoqué les déchets dans les sources d’énergie renouvelable. Il a réévoqué cela lors du dernier débat du premier tour en évoquant une nouvelle fois les déchets en tant qu’énergie dans un listing énergie renouvelable (solaire thermique, éolien, solaire thermique, hydraulique…). Il a aussi parlé de recréer de l’économie circulaire localement. Il n’a pas dit mot sur les déchets lors du second débat.

Dans son entretien chez Reporterre, il a dit vouloir différencier « les taux de TVA en fonction de ce qui est vertueux ou non », sans préciser si les produits et services auxquels cela pourrait s’appliquer. Lors du débat du second tour sur LCI le 22 septembre, il a mentionné vouloir passer la TVA à 5,5 % pour la réparation. Il a pris pour exemple le modèle des verts suédois. Il a repris cet exemple lors du dernier débat, en exemplifiant le besoin de réparation via les téléviseurs dont "40 % des téléviseurs en panne pourraient être réparables". Il a poursuivi son argumentation en invoquant une "victoire" pour le pouvoir d'achat grâce à son travail avec l'eurodéputé EELV 7 David CORMAND sur les chargeurs universels.

Lors du premier débat, il a évoqué les déchets dans les sources d’énergie renouvelable. Il a réévoqué cela lors du dernier débat évoquant une nouvelle fois les déchets en tant qu’énergie dans un listing énergie renouvelable (solaire thermique, éolien, solaire thermique, hydraulique…). Il a aussi parlé de recréer de l’économie circulaire localement. Il n’a pas dit mot sur les déchets lors du second débat ante premier tour.

Enfin, dans ses « premières positions structurantes » qui servent de « directions à adopter et des mesures à prendre dans quelques domaines-clés », mais pas de programme présidentiel, le candidat ne présente aucune mesure sur les déchets.

Lors du débat du second tour sur LCI, l'eurodéputé JADOT a dit qu'il fallait "sortir du jetable, du gaspillage de l'obsolescence programmée", il a répété sa volonté de sortir du jetable et de l'obsolescence programmée sur BFM TV lors du dernier débat. Sur LCI, il a aussi évoqué pêle-mêle l'économie circulaire, l'économie de la réparation, de la réutilisation, du recyclage.

Capture d'écran du tweet de Y.JADOT

Sur LCI, il a parlé de sa visite de l'entreprise cycle-terre. Il a évoque le réemploi des terres excavées du chantier du Grand Paris. Il a évoqué cette visite sur BFM TV également. Ceci n'est pas du réemploi, c'est du recyclage ou de la valorisation selon la nature dangereuse ou non des terres excavées. Sur son site l'entreprise, utilise une fois le champ lexical du recyclage et une autre fois celui du réemploi, entretenant la confusion.

Enfin, sur BFM TV, au détour d'une boutade de l'intervieweur Jean-Jacques BOURDIN sur le vrac, il a dit que le vrac était une bonne idée et que le grand enjeu c'était de sortir des emballages plastiques. Une mesure déjà prise dans la loi AGEC, il devront disparaître d'ici 2040.

Eric PIOLLE

Il est le seul candidat à avoir évoqué les déchets chez le quotidien Reporterre. Il y a déclaré : « Nous voulons aussi rendre notre économie circulaire et non plus linéaire. À ce sujet, nous proposons la création de 10 000 ateliers de réparation des objets du quotidien. Je pense aussi à la lutte contre l’obsolescence programmée. »

Il n’a pas évoqué le sujet déchets au premier débat, mais au deuxième et troisième si. Lors du second débat, au sujet des économies d’énergie, il a préconisé « de recycler les matières premières ». Il a aussi déclaré « nous créerons 10 000 ateliers de réparation ». Lors du dernier débat, il a parlé très brièvement d’ « arrêter l’obligation de traiter le verre avec les microrayures qui empêche les consignes de verre en France alors que ça se déploie partout ailleurs. »

Concernant son programme, les mesures sur les déchets sont plus nombreuses que chez ses adversaires. Ainsi, le 18 août 2021, le Maire de Grenoble 8, candidat à la primaire des écologistes a dévoilé un plan de 25 pages en guise de préprogramme présidentielle avant la tenue de la primaire.

Le candidat propose neuf actions en faveur de la transition énergétique, dont une intitulé « réduire les déchets et favoriser le recyclage et le réemploi ». Cette action se traduit par diverses propositions :

  1. Création locale de 10 000 ateliers de réparations de matériel de la vie courante (vélos, électroménager, vêtements, jouets...) ;
  2. Investir dans les centres de compostage et de méthanisation ;
  3. Fin programmée des unités d’incinération sans valorisation énergétique ;
  4. Déchets du BTP : « tri rigoureux » pour atteindre 70 % de recyclage en 2023 sous peine de sanctions financières & création d’un fond réemploi « pour faciliter le réemploi des matériaux issus de la construction et de la déconstruction des bâtiments » ;
  5. Objectif de 50 % de vrac alimentaire et réutilisable pour les surfaces commerciales de plus de 400m2 d’ici 2027 & interdiction du plastique à usage unique ;
  6. Consigne : Consigne du verre obligatoire pour les CHR d’ici 2024 - les PAT 9 devront intégrer un plan de consigne pour le verre et la réduction des déchets à la source – réajustement des normes sanitaires.
  7. Publicité : Les publicités promouvant des produits polluants seront interdites – généralisation du oui-pub à l’ensemble du pays en 2023 ;
  8. Allongement de la durée de vie des produits : allongement de la garantie légale de conformité – lutte contre l’obsolescence programmée – action de groupes simplifiées pour les associations de consommateurs pour agir plus facilement en justice ;
  9. Dépollution de sites affectés par les déchets toxiques par les responsables (entreprises, décharges…) et les sociétés ayant organisé leur insolvabilité seront poursuivis – plan massif de rénovation des friches industrielles.

Ces actions doivent permettre de créer 60 000 emplois dont 40 000 dans la réparation, 10 000 dans le développement du compostage et de la méthanisation, et 10 000 « dans les industries de la récupération ». Le tout doit permettre d’économiser 4,7 millions de tonnes annuelles Eq-Co2 sur le quinquennat 2022-2027 selon le candidat.

A part la première mesure, il n'y a rien de révolutionnaire dans les nombreuses propositions du candidat PIOLLE. Par exemple, la fin des unités d'incinération sans valorisation énergétique représente un parc très faible. Sur les données 2016 de l'Ademe, sur 124 unités seules 7 ne faisaient pas de valorisation énergétique (Ademe, 2019). Elles traitaient 0,90 % des déchets incinérés de l'époque. Sinon, il pousse plus loin des mesures mises en place durant le mandat du Président Macron. Sur la vente en vrac, il veut donc avancer la date d'obligation prévue dans la loi climat et résilience de 2021 (2030), et il souhaite augmenter la part obligatoire de vrac dans les commerces de plus de 400m2. 10. Aussi, sur l'interdiction du plastique à usage unique, la loi économie circulaire de 2020 a prévu la fin des emballages plastique à usage unique en 2040, ici E.PIOLLE souhaite donc étendre ça à tous les plastiques (on peut difficilement voir ce qu'il y a de plus jetable que des emballages). Sur le "oui-pub", l'article 21 de la loi climat encadre seulement une expérimentation. Concernant l'allongement de la garantie légale de conformité, c'est une demande de l'association Halte à l'Obsolescence Programmée dans son livre blanc de 2019, l'association propose une garantie minimale de 5 ans sur les DEEE 11 et une garantie minimale de deux sur tous les produits mais allongée sur les produits les plus chers et qualitatifs. Enfin, pour la dernière proposition le Ministère de la transition écologie (via l'Ademe) a multiplier les financements pour reconvertir les friches industrielles (les anciennes décharges semblent néanmoins rarement concernés 12 ).

Photo E.PIOLLE (crédits photo : Mathieu Génon, Reporterre)

Sandrine ROUSSEAU

Ni dans les deux articles chez Reporterre, ni lors des débats, la candidat Sandrine ROUSSEAU n’a évoqué les déchets.

En revanche, dans la partie de son programme dédiée à la « radicalité environnementale », Sandrine ROUSSEAU propose de produire une énergie d’origine 100 % renouvelable d’ici à 2050. C’est dans cette partie que la seule mesure sur les déchets de son programme est présente, la voici : « engager […] la création d’une filière de recyclage des équipements en fin de vie ». Elle a évoqué ce même recyclage sur LCI lors du débat du second tour, le recyclage des terres rares. L'objectif affiché est de réduire notre dépendance à la Chine pour l'approvisionnement de ce minerai métallique.

Enfin, lors du dernier débat, elle a défendu l'artisanat comme un secteur permettant "d'avoir des produits de qualité et réparables".

Photo de S.ROUSSEAU (crédits photos : Mathieu Génon, Reporterre)

Que le meilleur gagne ?

Le premier candidat écologiste à l'élection présidentielle fut René DUMONT en 1974, la dernière candidate fut Eva JOLY en 2012 (Y.JADOT s'étant désisté en 2012 au profit du socialiste Benoît HAMONT). La primaire écologiste s'inscrit dans la perspective des élections présidentielles de 2022. Depuis quelques semaines, une kyrielle de candidats et candidates s'est déclarée, plus ou moins connus (Anne HIDALGO, Arnaud MONTEBOURG, Hélène THOUY, Jean LASSALLE, Marine LE PEN, Jean-Luc MELENCHON, Anasse KAZIB,Valérie PECRESSE, Antoine WAETCHER 13...). Les décheticiens suivra cette campagne et fera des articles sur les propositions des candidats sur le thématique des déchets, le quinquennat 2017-2022 d'E.MACRON sera lui aussi analysé à la loupe sur la prévention des déchets. Assurément l'écologie devrait être une thématique centrale de la présidentielle et du nouveau mandat 2022-2027, et les déchets pourraient se faire une petite place, pour le meilleur et/ou pour le pire (selon les candidats).

Sources :

2022 l’écologie, 2021. Premières propositions structurantes. Consulté le 12/09/2021.

Actu environnement, 2021. Biométhane : une filière en transition et sous tension.

Ademe, 2021. ACV impacts filières compostage méthanisation.

Ademe, 2021. Chiffres clés du parc d’unités de méthanisation en France au 1er janvier 2021.

Ademe, 2019. Les installations de traitement de traitement des déchets ménagers et assimilés en France. Données 2016.

Ecologie au centre, 2021. Nos propositions. Consulté le 04/09/2021.

Éric PIOLLE, 2021. PLAN POUR UNE TRANSITION ÉCOLOGIQUE GÉNÉRATRICE D’EMPLOIS ET DE JUSTICE SOCIALE : TRANSFORMER NOS PROBLÈMES EN EMPLOIS. Consulté le 04/09/2021.

France inter, 2021. Questions politiques. 1er débat débat de la Primaire écologiste pour l’élection présidentielle 2022.

Halte à l’obsolescence programmée, 2021. Livre blanc. 50 mesures pour une consommation et une production durable.

LCI, 2021. REPLAY - Primaire des écologistes : le débat des cinq candidats passé au crible de nos Vérificateurs.

Le Monde, 2021. En Bretagne, les projets de méthanisation suscitent de plus en plus de crispations.

Mediapart, 2021. "Face à médiapart" : le débat de la primaire écologiste.

Mediapart, 2021. Face à médiapart : Yannick Jadot et Sandrine Rousseau.

Reporterre, 2021. Delphine Batho : « La décroissance est le seul projet politique réellement alternatif ».

Reporterre, 2021. Portraits, interviews : l’essentiel pour choisir les candidats écologistes à la primaire.

Reporterre, 2021. Yannick Jadot : « un seul objectif, gagner ! ».

Sandrine Rousseau 2022, 2021. Le programme. Consulté le 04/09/2021.

Youtube, 2021. Rousseau-Jadot : l'intégral de l'ultime débat de la primaire écologiste.

  1. Tous n’en ont pas publié, comme Delphine Batho, qui souhaite le coconstruire avec les citoyens à partir d’octobre si elle est élue (Reporterre, 2021).[]
  2. Le 05/09 chez France Inter et Le Monde, le 08/09 chez LCI en partenariat avec Le Figaro et Loopsider, et enfin chez Mediapart le 10/09.[]
  3. Pour une définition plus complète, vous pouvez aller voir cet article de "Bon Pote"[]
  4. Elle a écrit un autre livre en 2019, intitulé Écologie intégrale : le manifeste. Les décheticiens ne l’a pas lu.[]
  5. Cette étude comporte des limites et incertitudes. La comparaison avec les trois autres filières de compostage n'est pas possible selon celle-ci[]
  6. Pour les photos, la logique aurait voulu que ça soit la seule qui soit centrée pour celui qui martèle être un centriste, et pour les autres candidats qu'elles soient alignées à gauche (humour).[]
  7. Europe Ecologie Les Verts[]
  8. depuis 2014[]
  9. Projet alimentaire territorial.[]
  10. L'article concernant le vrac dans la loi climat est l'article 23[]
  11. Déchets d'équipements électriques et électroniques[]
  12. cette affirmation demanderait plus d'approfondissement[]
  13. ils n'ont pas encore les 500 parrainages nécessaires[]
Nota bene : cet article a été publié à une date qui correspondait peut-être à l’époque à un contexte différent de celui d’aujourd’hui. Les informations qu'il vous propose ne sont peut-être plus à jour. En cas d’erreurs ou d’inexactitudes, merci d’aider à les corriger en me communiquant vos remarques et commentaires.
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